La Face cachée de l’Industrie de la Laine

Peut-on exploiter les animaux pour leur laine sans leur causer de souffrance? La réponse semble être dans la question. Le simple fait d’exploiter tout court devrait mettre la puce à l’oreille…

Petit tour d’horizon d’un business pas si doux que ça.

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La laine désigne un ensemble de fibres provenant d’animaux différents (laine de mouton, laine angora, laine cachemire, laine du mohair, laine alpaga). L’industrie de la laine ne semble pas au premier abord entraîner de souffrance animale. Mais à l’origine les moutons muent d’eux-mêmes, l’homme n’a pas toujours tondu les animaux. Mais les éleveurs ont fait en sorte de créer des races qui ne muent pas afin d’acquérir un meilleur profit. Donc le but d’un industriel, comme tous les autres commerces liés aux animaux, n’est pas le bien-être animal mais la recherche de rendement. Et ce n’est évidement pas les petits éleveurs qui fournissent de la laine pour un commerce international.


1 – La laine de mouton






Nous nous demandons rarement ce que peut engendrer la production de la laine de mouton. D’une part, une grande partie de la laine est importée d’Australie, le plus gros producteur devant la Chine. L’Australie utilise le trafic par voie maritime. Lorsque les moutons cessent d’être productifs, ils sont exportés pour être abattus dans d’autres pays. Les moutons malades et les agneaux sont jetés à la mer. Les traversées sont souvent très longues, 3 semaines voire plus. Les moutons ne peuvent donc se détendre et sont obligés de rester au contact permanent de leurs excréments avant d’arriver à leur but final : la mort. D’autre part, les moutons d’Australie sont élevés en plein air mais de façon intensive. Donc, leur espace est très restreint. A cause de ces élevages massifs, les éleveurs ne peuvent pas les soigner et les entretenir de façon correcte. Ils sont bien trop nombreux pour que les éleveurs se préoccupent de leur bien-être.





Lors de sécheresse, les éleveurs n’ont pas les moyens suffisants pour abreuver leurs moutons en nourriture et en eau et des troupeaux sont laissés à l’abandon. Ensuite pour des questions de rentabilité, les éleveurs les castre, leur coupe la queue, leur prélèvent de la chair pour éviter des infections dues à l’excès de laine, sans soins et sans anesthésie. Leurs plaies n’ont souvent pas le temps de cicatriser et sont envahies par les mouches. Toujours pour des questions de rentabilité, les moutons sont tondus l’hiver. Leur température interne normale est de 39°C. Ils ont donc très chaud l’été et beaucoup meurt l’hiver car leur laine ne peut plus les protéger.


2 – L’angora






La France occupe la première place mondiale dans la production de la fibre textile du lapin blanc : l’angora. Cette fibre est obtenue par l’épilation de lapins sélectionnés pour leur production de poils. Cependant, même si cette pratique est dite peu douloureuse pour le lapin, il en résulte que celui-ci se refroidit vite si on ne le réchauffe pas par un moyen totalement artificiel : bouillotte, manteau, lampe chauffante… On voit alors bien le paradoxe d’épiler un lapin pour le couvrir avec un manteau (pourquoi pas fait avec ses propres poils). Quant à l’utilisation d’une lampe chauffante sur une peau fragile mise à nue et qui n’a pas l’habitude de l’être, je vous laisse imaginer le résultat. De plus, la majorité des éleveurs font ingurgiter des produits chimiques à leurs animaux dans le but de faciliter la récupération du poil.


3 – Les autres laines
(le cachemire, le mohair, le pashmînâ, l’alpaga)






En ce qui concerne les autres laines, elles sont produites dans des pays où la protection animale est quasiment inexistante. La Mongolie est le premier producteur mondial du cachemire, fibre provenant de la chèvre du cachemire. Le Mohair, laine fabriquée à partir de la toison de la chèvre angora, est majoritairement fabriqué au Népal. Le pashmînâ aussi appelé « l’or en fibre » est une fibre très fine issue d’une chèvre de l’Himalaya. L’alpaga est un ruminant voisin du lama qui produit une fibre plus douce, plus chaude et plus résistante que la laine de mouton et sa production s’effectue en Amérique du Sud. Comme dans tous les commerces liés aux animaux, lorsque ces derniers ne sont plus rentables, ils sont abattus pour leur chair. En effet, la chèvre ne sert pas seulement à fabriquer de la laine. Elle produit également du lait, du beurre, du fromage et est élevée pour sa viande. Donc cautionner tout commerce de laine, c’est cautionner le commerce de la viande et donc de la mort d’un être sensible.



4 – Conclusion pour la production de la laine



Finalement la production de tous les commerces de laine engendre de l’exploitation, de la souffrance et de la cruauté envers les animaux. Cela devrait être une raison suffisante pour choisir des textiles végétaux comme le chanvre, le lin, le coton… Aucun animal n’a demandé à être enfermé en clapiers ou en champs et à se faire utiliser comme un objet dans un but commercial. Nous n’aimerions pas être traités de la sorte alors laissons la liberté aux animaux, ne les sélectionnons pas pour obtenir des races performantes comme s’il s’agissait de machine. Tout être sensible doit pouvoir être laissé à l’état naturel.

Source : ecovegan.free.fr

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“L’industrie du mouton australien et Neo Zélandais n’a rien d’autre que mépris pour les ovins indépendamment du fait qu’ils soient sur leur sol ou ailleurs.
Si les moutons charcutés vifs afin d’éviter la myase ne finissent pas couverts de mouches infestées de larves dévorant leur chair dans leurs fermes débordantes de cadavres de moutons ils finiront par mourir lentement sur un bateau rouillé qui empeste encore la mort du voyage précédent en route vers un camp d’extermination hallal du Moyen-Orient ou d’Afrique du Nord dans lesquels ils seront abattus avec une sauvagerie inouïe, ou alors ils mourront de soif sur un camion délaissé en plein soleil, à moins que malades ou blessés durant le trajet en mer, donc non négociables, ils ne soient jetés vivant par-dessus bord. Ajoutez à cela les violences qu’ils doivent endurer de la part de salauds qui assouvissent ainsi leurs instincts les plus bas et vous aurez un début d’idée du prix exact de la tranche de cadavre au fond de votre assiette et de vos précieux lainages obtenus aux prix d’immenses souffrances.”

*** Attention Images Choquantes ***

Source : vivrevegan.fr

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Toujours dans cette logique de productivisme, les animaux paient le prix fort, et dans l’industrie de la laine aussi ! Ce sont les grands élevages (troupeaux de 2000 à 8000 moutons) qui fournissent le marché international de la laine, et 80% d’entre eux se trouvent en Australie. Les moutons doivent d’abord subir des conditions climatiques extrêmes : vent glacial, pluies torrentielles, sécheresse et canicule… 30% des agneaux meurent avant d’avoir atteint l’âge de 8 semaines! De nombreux adultes meurent aussi en raison du manque de soins ou d’abris appropriés… Le sort des survivants n’est guère plus enviable. Quelques semaines après leur naissance, les agneaux sont le plus souvent castrés et mutilés (on leur coupe la queue et on leur perfore les oreilles) sans le moindre antalgique !!! Par ailleurs, le surplus de laine artificiellement provoqué et les replis de peau retiennent l’urine et l’humidité, ce qui attirent les mouches. Celles-ci y pondent leurs oeufs, et les moutons sont littéralement dévorés par les larves. Pour prévenir ce problème, les éleveurs australiens découpent des morceaux de chairs sur les agneaux (sans la moindre anesthésie !!!). Malgré ces mesures barbares, les blessures sont le plus souvent infestées avant d’avoir pu cicatriser ! Les moutons sont tondus de manière prématurée, au moment où la laine est la plus abondante, ce qui fait mourir de froid de nombreux animaux. Les ouvriers tondeurs, payés au volume, se préoccupent davantage de leur productivité que du bien-être des animaux, et la tonte est très brutale, avec de nombreuses et profondes coupures de tondeuse dans la peau… Puis ils sont entassés et transportés dans des bâteaux pendant des semaines, avant d’arriver à leur destination, où ils sont enfin tués de manière cruelle, le plus souvent encore pleinement conscients !!!


Pour en savoir plus : La laine, un problème?

Source : veganisme.fr

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Il faut savoir que même pour les productions bio jugées « plus soft », on pousse les agnelages pour plus de rendement, les troupeaux sont systématiquement vaccinés, presque toujours pucés (voir à ce sujet Mouton 2.0 – La Puce à l’Oreille) et les moutons finissent bien évidemment à l’abattoir.

La question qui demeure est « peut-on s’en passer? » réjouissons-nous, la nature a pensé à tout et nombreuses sont les fibres végétales qui peuvent nous vêtir, et ce hiver comme été. Chanvre, lin, coton bio, ortie, et autres, offrent de merveilleuses fibres, et vous seriez étonné par la douceur d’un fil d’Abaca (bananier textile)!

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Pour plus d’infos, je vous invite grandement à lire l’article

TOUCHE PAS À MA LAINE !

(sur le blog d’Ophélie)

A Propos de l'Auteur

KeïKo
Autrice, réalisatrice et co-fondatrice d’Amsha - Visiter son Site / Voir tous ses Articles


48 Commentaires

  1. véronique weinberger dit :

    j’aspire de toute mon âme à un monde où l’on peut vivre , se nourrir , se vêtir , se loger , se chauffer , se déplacer etc…. dans le respect et l’amour de la terre , des humains et des animaux . POURQUOI TANT DE SOUFFRANCE ?? !!

    • DELGADO dit :

      Bonjour, je suis un peu fatiguée de lire tous ces commentaires qui ne font que constater sans agir, et surtout, jetter l’opprobre sur des petits producteurs amoureux de leurs bêtes, en généralisant tout tort et à travers. Je suis fervente défenseur des animaux mais aussi des artisans et les deux sont compatibles. Oui je trouve abject les mauvais traitements faits aux bêtes (boucherie o produits non alimentaires), mais que faites vous concrètement? je voudrais le savoir: vos achetez des synthétiques, vous allez chez ZARA et compagnie? Allons…. moi je suis en train de créer un label français pour une laine produite dans le respect des animaux et des producteurs car non messieurs dames, ils ne sont pas tous pourris, et j’en connais personnellement: petites quantités, savoir faire local, respect. Moi au moins j’agis.

      • Vavou dit :

        Oui ok, seulement il s’agira toujours d’une exploitation? Et le jour où le mouton sera trop vieux ou plus assez productif il ira où? A l’abattoir? Nan le but n’est pas de trouver une façon de réglementer l’esclavage mais bien de l’abolir! et trouver des solutions efficaces et naturelles non polluantes, vos petits producteurs n’ont qu’à se mettre a la culture du chanvre par exemple, c’est une fibre géniale magnifique qui a autant d’avantage que la laine si ce n’est plus car en terme de consommation d’eau le rendement est bien meilleur! Aller hop on réfléchit et surtout on ne reste pas sur ses acquis!

        • aurel7254 dit :

          Bonjour,
          Moi même végétarienne, je suis contre la tuerie, et l’élevage d’un animal pour le voir finir à la boucherie! cependant je suis en formation pour créer ma propre exploitation de chèvre angoras! et si j’ai choisi ces animaux c’est justement car leur laine est tondu deux fois par an, et que pour la survie des chevreaux il est fortement conseiller de les tondre!! sinon il ne trouve pas la mamelle ou on beaucoup de difficulté et meurt de faim! de plus les boucs castrés ou non ont également de la laine donc aucune raison de les mettre à l’abattoir! je suis une fervente protectrice des animaux et même si il est vrai que certain producteurs ne font pas dans la dentelle quand il s’agit de production, cela n’est pas du tout le cas de certain et il ne faut surtout pas généraliser! la laine mohair est une laine exceptionnelle! et produite en France également dans le respect de l’animal! alors moi entre des produits en laine importé, par effectivement des moutons dans des pays ou il n’y a aucune législation sur le bien être animal! j’ai choisi de devenir éleveuse de chèvre angoras dans le respect de l’animal, de la laine et du produit français!!!! alors arrêtez plutôt d’acheter vos vêtement à bas prix et regarder bien d’où viennent la laine et le tissus! même si il est vrai que le coton, la soie ou autre n’occasionne pas de souffrance animal il faut regarder ce qu’on fait aux hommes aussi!! et si l’on gratte ce n’est pas si rose!!!!

          • Naughtycookie dit :

            Bonjour,

            « même si il est vrai que le coton, la soie ou autre n’occasionne pas de souffrance animal » -> Renseignez vous sur le mode de production de la soie avant de prétendre qu’il n’engendre pas de souffrance animale, d’autant plus si vous êtes végétarienne et vous sentez à priori concernée par le bien être animal.

          • David GB dit :

            Bonjour Aurélie,
            Je voudrais me lancer aussi, pourrions nous échanger par courriel ? Merci!

        • Fran dit :

          Bonjour a tous. Je suis tondeuse de moutons. Si je comprend bien pour vous tous je suis massacre use de brebis… Comment pouvez vous vous permet tre de parler et surtout de critiquer des choses que vous ne connaisse pas? Je tond en France mais j ai travaille en australie en nouvelle zelande en Italie. Je n’ai vu aucune mal traitement. Tout les éleveurs tondeurs aiment leur travail les brebis et la laine. Les brebis australienne sont dans de grandes étendre que beaucoup d entre vous aime te voir

        • Bonjour, je suis bien d’accord, il ne faut pas tout mélanger et il faut encourager les artisans qui aiment leurs animaux et qui les traitent avec autant de respect que tout être vivant. Oui, il faut bannir la laine qui vient d’Australie, mais il faut surtout connaitre l’origine de ce que vous portez, et vous pourrez être fière de porter de la belle laine achetée à un éleveur ou à un artisan et il y en a assez en France pour vêtir beaucoup de personnes/. Certes les moutons ont maintenant besoin d’être tondus, et cela participe à leur bien être. Sinon, on fait quoi, on les tue tous, parce maintenant ils ont besoin d’être tondus ? Je mets souvent des commentaires sur les sites des personnes vegan, et chaque fois, je n’ai aucune réponse, que dois-comprendre? Si ce n’est qu’ils ne connaissent pas le sujet de la laine et des moutons….

      • fadlallah dit :

        je suis heureuse d’apprendre que des gens comme vous existent, en effet il n’y a que ds l’action que l’on peut évoluer.

      • David GB dit :

        Bonjour,
        Je vois que travaillez à un label laine frcs … Travaillant sur projet de production et de transformation de laine, j’aimerais échanger avec vous. Auriez vous la gentillesse de me contacter en message privé svp?
        Merci par avance,
        David

    • Antoine dit :

      OUF! heureusement que ce n’est ni demain ni après demain que nous arrêterons de manger de la viande, du fromage et autres en écoutant vos élucubrations de similis-gurus exaltés LOL

  2. chapelan dit :

    s il existe un pays ou l on vit dans le respect c est bien le bouthan.merci pour ce reportage déja vu sur ton blog.
    qui a regardé planete alu sur arte hier.toxicité extreme et on nous le met comme adjuvant dans nos vaccins et gare aux chercheurs qui denoncent.on vit dans un monde de plus en plus fou.j ai l impression que tout s accelere.rien qu au usa 11 milliards d animaux terrestres sont tues par an 18 milliards d animaux marins
    la note sera tres salée
    grand respect a toi keiko

    • van leemput claudine dit :

      bonjour, vous parlez de soie …. on jette les cocons dans l eau bouillante afin de recuperer le précieux fil ! toute exploitation animale a des fins mercantiles, est inacceptable artisanale ou autre …..

  3. Lucie dit :

    Je suis éleveur de moutons en Nouvelle Zélande et je peux vous garantir que tout ça n’est que fabulation excentrique et ridicule.

    • dialogue ? dit :

      bonjour lucie, j aimerai dialoguer avec vous a propos de votre élevage
      merci , vous pouvez me trouver sur facebook a fabienne fabienne ( deux fois fabienne)

  4. Lucie dit :

    Au plus je lis au plus j’hallucine sur la quantité de conneries là dedans

    • David GB dit :

      Bonjour Lucie
      Je voudrais me lancer dans la production et la transformation de laine. Pourrions nous échanger en privé par courriel svp?
      Merci par avance

  5. Une couturière écolo dit :

    Vous connaissez bien mal les propriétés des fibres textiles si vous pensez pouvoir remplacer la laine par du chanvre, coton ou du lin. Ces fibres naturelles végétales sont absolument déconseillées en temps froid! Les seules réelles alternatives isolantes que nous avons à la laine, ce sont les fibres synthétiques (acrylique, polyester ou nylon).
    La production de ces fibres synthétiques est extrêmement dommageable pour l’environnement puisqu’elles sont entièrement faits de pétrole transformé. En plus de devoir utiliser beaucoup d’eau et de ressources pour transformer ces matières, leur production est responsable de plusieurs rejets toxiques dans l’air et dans l’eau. Cette pollution a un immense impact sur la faune et la flore et cause du mal à bien plus grande échelle que celui de la production de laine qui reste une matière naturelle. De plus la laine est extrêmement durable et peut être recyclée. Les matières synthétiques ont une durée de vie bien moindre. Un pull en laine durera plusieurs années, tandis qu’un pull en acrylique sera usé et troué en quelques saisons.

  6. KeïKo dit :

    Vous connaissez bien mal les propriétés des fibres textiles, si vous croyez que les fibres végétales sont absolument déconseillées en temps froid!

    Avez-vous déjà cousu, tricoté, porté des vêtements en chanvre?

    Par ailleurs il ne me semble pas que l’article fasse l’éloge des fibres artificielles ou synthétiques. Et quant à penser que la laine est extrêmement durable et peut être recyclée, c’est sans considérer l’impact environnemental concret d’un troupeau : nourriture, vaccins, médications, etc…

    Une autre couturière écolo!

  7. Une couturière écolo dit :

    Le chanvre et les autres fibres naturelles végétales sont de très mauvais isolants thermiques en comparaison avec les autres types de fibres.

    Bien sûr, on peut utiliser des tissus plus épais ou grattés en temps froids, mais penser pouvoir faire un manteau d’hiver efficace en chanvre ou en coton est assez absurde. Je parle de grands froids, sous zéro celcius. Vous allez être complètement glacés si vous portez des vêtements en fibres naturelles végétales seulement en ces températures.

    L’article ne fait pas l’éloge des matières artificielles ou synthétiques, mais si on exclut la laine (ou tout autre produit animal) c’est tout ce qu’il reste en terme d’isolation thermique.

    Ça me fait mal au cœur de penser à la situation des moutons, mais je suis incapable de préférer les matières pétrolières aux matières naturelles. Côté environnement et éthique, j’espère que la laine bio (moutons en liberté, avec des conditions de vie optimales, nourris naturellement, sans ogm, sans antibiotiques… ) gagnera en popularité autant que la laine recyclée. Et bien entendu, la réduction de la consommation reste toujours la clé.

    Je porte le même manteau de laine depuis 10 ans à chaque hiver (Je vis au Québec). Il commence juste à être usé et je n’ai qu’à le retoucher légèrement pour lui redonner fière allure.

  8. […] La Face cachée de l’Industrie de la Laine […]

  9. poupon dit :

    J ai effectivement été témointais de tonte de chèvres angora pour produire de la laine mohair l hiver en Ariège les chèvres etais souvent malade Après d autent plus que la minuscule chevrerie ou elles vivaient n était pas étanche et la litière toujours umide !! De même la tonte d été leurs enlevair une protection naturelle contre la chaleur elles étouffent de chaleur ceci a beaumont sur leze en haute garonne 31

  10. titi dit :

    quand on ne sait pas on écrit pas des inepties . Le premier producteur de laine angora est la chine.Il ne reste en France qu’une trentaine d’éleveurs angora dont je fais partie pour une production annuelle de moins de 2000 kgs.
    Nous aimons et nous prenons soin de nos animaux toujours attentifs à leur bien être. Et ou avez vous vu que nous donnons des produits chimique à nos lapins pour leur faire tomber le poil? c’est du grand n’importe quoi. Et oui l’hiver il nous arrive de chauffer nos lapins avec une lampe quelques jours quand ils sont dépilés (et non épilés) et leur peau ne subit pas de dommage comme vous semblez le dire. Le problème d’internet est qu’on peut y lire tout et n’importe quoi écrit par des pseudos spécialistes qui n’ont aucune connaissance du sujet

    • louane dit :

      Ah bon? tes lapins ne sont pas toujours dans des cages? Vous avez tellement peur qu’ils salissent leur poils angora qu’il reste en cage … alors c’est vous même l’ineptie et l’hypocrisie!

      • titi dit :

        et vous je vous imagine citadine donc qui sortez beaucoup dans des soirées . Vous ne mettez jamais de chaussures en cuir ? vous devez avoir l’air fine avec des baskets sur une robe chic

    • louane dit :

      En cage toute leur vie et je sais de quoi je parle, j’en ai vu des élevages angora …

  11. KeïKo dit :

    « quand on ne sait pas on écrit pas des inepties »
    Effectivement.

    Vous dites être attentifs à leur bien-être, mais avez-vous seulement conscience de ce que vous dîtes ? Pensez-vous vraiment que ces lapins soient apparus par l’opération du St Esprit seulement pour que vous leur preniez leurs poils ?! Pensez-vous qu’ils soient venus sur Terre pour que vous puissiez vous faire des petits pulls douillets ?!

    Personnellement je suis lassée de cette hypocrisie naïve et malhonnête ! Les animaux ne sont pas des produits de consommation. Ce sont des êtres sensibles. Ce ne sont pas des choses dont on s’imagine pouvoir disposer à notre guise.

    De grâce, si vous aimez ces animaux, laissez-les vivre leur vie en paix !!!

    • titi dit :

      preuve que vous ne maitrisez pas votre sujet quand vous écrivez que la france est le premier producteur mondial d’angora Ce qui est faux. les premiers sont les chinois ( eux vous pouvez leur taper dessus ils font un travail épouvantable et les lapins souffrent) Mais à cause d’individus comme vous, les gens font l’amalgame entre cette production innommable et le travail de qualité de quelques petits producteurs passionnés.En France nous ne sommes plus qu’une trentaine pour une production de moins de 2 tonnes de fibre .Alors vous repasserez pour le n°1 mondial. ensuite pour traiter de l’angora, si vous voulez mettre une photo, ne mettez pas celle d’un lapin d’agrément. L’ angora pour la laine est blanc . Ceci pour une question de teinture.
      Et quand en réponse à une personne vous vantez le vêtement en fibre végétal, venez donc faire un tour dans ma région l’hiver quand il fait -15° .Vous serez trop contente d’échanger votre tricotage en lin contre un de mes pulls bien chaud

  12. titi dit :

    effectivement vous avez vu des élevages de lapins angora et forcement vous avez vu que ce que vous vouliez voir. Vous êtes comme les extrémistes vous avez des oeilleres . Premièrement ce sont des lapins domestiques qui ne pourraient pas vivre en liberté. sachant que le lapin se trouve en bas de la chaine alimentaire . Faut il faire un procès au méchants renards qui les dévorent? et quand je dis que je prends soin de mes lapins c’est que je le fais d’ailleurs chacun à son petit nom. Mes lapins vivent en moyenne entre 6 et 8 ans (trouvez d’autres situations ou ils vivent si longtemps) Oui ils sont dans des cages mais ils n’ont pas été capturés pour ça. Ce qui est ignoble d’enlever la liberté a un animal qui est dans la nature.
    Je vous comprends très bien Un petit producteur qui essaie de vivre en fabricant des vêtements avec des matières naturelles en respectant le bien être de ses animaux c’est mal. J’ imagine que vous ne portez pas non plus de chaussures en cuir. Dans ce cas vous êtes des éco -irrresponsables qui par vos achats de produits synthétiques favorisez la pollution et l’exploitation des femmes et enfants des pays économiquement pauvres. Mais ca vous n’y pensez pas . Trop occupés dans vos préjugés. Vous avez déjà vu une tonte de mouton en vrai et non derrière un écran ? je peux vous certifier qu’après il est trop heureux d’être débarrassé de sa lourde toison .au début de l’été Je persiste donc a dire que ce site est un immonde tissus de conneries et que les éleveurs respectueux ( oui je reconnais que certains ne le sont pas) devraient déposer plainte pour diffamation

    • KeïKo dit :

      Cher Titi,
      Je remercie chaque jour la lune et le soleil de m’avoir insufflé l’élan de fuir la ville pour un retour aux sources à la campagne, il y a quelques années déjà ! C’est avec joie que je mets les mains à la terre pour me nourrir, ou dans les fibres pour vêtir ma famille… Ni le temps – si précieux avec deux enfants éduqués sans école – ni l’envie qui me manque franchement, me permettent de me justifier une énième fois quant à mon regard sur la condition animale. N’hésitez pas à visiter mes sites (HEKATE, Kaneh-Bosem & Amsha) !
      Belle aventure dans cette Vie 🙂
      KeïKo

      • Amnesty dit :

        Bonjour

        Je suis née dans une cage à Paris. Je n’ai pas été capturée. Mais dès que j’ai pu m’échapper j’ai goûté à la liberté, la nature, le bien-être.
        Selon votre raisonnement comme je suis née sans liberté j’ai le droit d’être exploitée jusqu’à ma mort.

        Les animaux ont le droit comme nous de vivre une vraie vie.

      • Amnesty dit :

        Ouais je n’ai pas répondu à la bonne personne

    • Amnesty dit :

      Bonjour

      Ma réponse est juste en dessous
      Merci

  13. Kadou Le Rouzo dit :

    Bonsoir à tous,
    Je suis futur éleveur en formation (donc je vois pas mal de barbarie envers les animaux de la part de mes collègues) et connaissant très bien le mouton j’ai eu la nausée en regardant la vidéo sur le mulesing… j’avais connaissance du problème et était contre (tout comme l’écornage) mais c’était purement insoutenable pour un ami des animaux comme moi. Je sais que cela vous fait doucement rire car je compte exploiter des animaux, mais je trouve que votre démarche est importante pour nous rappeler à nous, éleveurs, que nous comprenons souvent très mal nos compagnons de travail. Je vous en remercie (et j’inclus ma soeur qui est vegan dans ce vous, oui je sais l’horreur pour elle d’avoir son frère éleveur). Je rajouterai qu’il y a quelques petites imprécisions sur des termes zootechniques dans la vidéo (le principe du mulesing reste aussi barbare avec l’exactitude mais un débat avec un éleveur bas de plafond peut vite se retourner contre vous si vous ne maitrisez pas le vocabulaire). Voilà, j’espère que ma contribution apporteras une pierre à l’édifice du bien être animal.

    • fadlallah dit :

      je te remercie de ta lucidité, j’espère que tu acquerras de l’expérience et que tu contribueras à changer les conditions, pour ma part je fais du droit et j’espère aussi être capable de mettre en oeuvre des réglemantations

  14. Michel dit :

    La tonte du mouton est essentielle pour son bien-être. Elle doit avoir lieu au moins une fois par an, au printemps, pour enlever les parties crottées sources d’infection, empêcher l’installation de parasites comme les mouches ou les tiques, et éviter les coup de chaleur à l’animal, la laine étant un excellent isolant et empêchant la sueur de s’évaporer. Quant à préférer le coton, c’est détruire l’environnement. Le coton est un énorme consommateur d’eau, qu’il soit bio ou non. Allez voir en Chine les milliers d’hectares de terre arable transformés en désert du fait de la culture bio de coton à la place de céréales. Vous demanderez aux paysans chinois chassés de leur terre ce qu’ils en pensent. Comme tout extrémisme et dogmatisme, le tout végétal est une hérésie dangereuse pour la planète. Ne condamnez pas à priori toute forme d’élevage au nom d’une idéologie. Sans élevage il n’y aurait pas de prairie en Auvergne. La diversité de la faune et de la flore aurait depuis longtemps disparue et le genêt purgatif et le pin noir autrichien auraient tout envahi. Alors assez de bêtises et instruisez vous sur les équilibres biologiques

    • Patrick dit :

      Bonjour,
      Le mouton est le fait d’une sélection par l’homme sur le Mouflon il y a un peu plus de 10000 ans… L’Homme a donc une responsabilité dans l’existence du mouton. La base de la sélection serait, entre autre, la capacité de conserver (éviter la mue saisonnière) puis de favoriser (longueur, finesse) le sous-poil (laine) au détriment du poil (jarre)… dans un but textile!

      La viande fût pendant la majorité de la période de domestication un sous-produit de la production de laine. Il a fallut attendre l’après guerre(s) puis la politique agricole commune (PAC) de l’Europe (années 1960-70) pour que la viande soit le premier produit reléguant la laine à un sous-produit. Celà ne concerne même pas un siècle alors que l’histoire du mouton a plus de 100 siècles!
      De même, l’exploitation (industrielle) des moutons ne date que du début de l’ère industrielle qui, à l’aide du charbon puis du pétrole et l’élctricité a décuplé les capacités de transformation et l’avidité de ses bénéficiaires. Ceci à bouleversé toute l’agriculture paysanne de valorisation pour une agriculture industrielle d’exploitation… Il n’y a encore que 200 ans de celà!
      Votre raisonnement appliqué à votre activité textile chanvre permettrait de dire : »Aujourd’hui l’agriculture est hyperpolluante et les grandes monocultures réduisent drastiquement la biodiversité. La France, premier producteur mondial de Chanvre est donc responsable de la destruction et de la pollution de milliers d’hectares et de la disparitions de centaines de petites fermes paysannes au profits de grands industriels (Interval-Eurochanvre, PDM Industries, etc) pour une exploitation essentiellement papettière très polluante. La France produit 43% de la production mondiale alors que ses 68000ha ne représentent que 13% des surfaces cultivées en chanvre… L’hyper intensification de la culture du Chanvre en France (rendement à l’hectare à 260% de la moyenne mondiale) rend cette culture, habituellement très peu polluante, très impactante sur l’environnement tant au niveau pollution directe (culture) que indirecte (transformation), que dégradation des sols, ou perte de biodiversité. »
      Vous pouvez voir que la généralisation est dangereuse puisqu’il existe aussi des petits producteurs paysans de chanvre avec des rendements plus acceptables avec des pratiques plus respectueuses tant dans la culture que dans la valorisation et qu’il y a aussi des grosses exploitations qui exploitent les terres et donc toute la faune et microfaune constituant la richesse et la fertilité des sols…

      Vous transformez avec passion une fibre noble que vous ne produisez pas…

      Pour ma part je suis éleveur paysan, berger et transhumant. Je fait transformer ma laine en France dans des petites structures (tricotage, tissage, feutre, literie).
      Au niveau du bien être de mes bêtes, je me suis engagé auprès d’elles à leur fournir nourriture de qualité et suffisante, soins, abris, sécurité, pour leur permettre de vivre et se reproduire en échange de leur laine annuellement et de disposer d’une partie de leur descendance (les mâles) pour leur laine puis leur cuir et leur viande. Je ne me considère pas exploitant agricole puisque je valorise au mieux dans un contexte très extensif dans un respect du rythme biologique de mes bêtes. Il est faux que les moutons soient systématiquement vaccinés ou piqués aux antibios (que j’utilise ponctuellement, comme sur moi, uniquement en cas d’absolue nécessité, infections graves, blessures graves).

      La souffrance animale est un mauvais argument pour condamner la laine et l’élevage ovin dans son ensemble.
      La souffrance animale est un bon argument pour condamner l’industrialisation de l’élevage et des filières industrielles associées (viande, laine, etc)…
      La prise en compte de la souffrance animale dans les petites structures paysannes est un bon argument pour défendre la laine locale (et la viande).

      La mort fait partie des lois de la vie avec lesquelles vous souhaitez vous réconcilier. Toute vie se termine et il faut l’assumer. Celle de l’éleveur comme celle de ses bêtes n’est pas infinie.
      Associer la mort à la souffrance est un anthropocentrisme déplacé (la douleur de la mort d’un proche n’implique pas la douleur du mort) qui suppose, entre autre, que les animaux ont conscience de la mort. La conscience du danger ok, mais pas celle de la mort. Je suis proche de mes bêtes, et ayant conscience de la mort, ma souffrance n’est pas absente. La mort est assumée comme prix de mon engagement complet et permanent envers mon troupeau.

      Je pense que vous n’êtes qu’au début de votre quette de votre propre « pacification »… qui vous permettra ensuite… Amsha… de vous réveiller… à « la vérité, la connaissance et les lois de la nature » dont deux sinon trois des notions vous semblent encore étrangères!

      Bonne lecture et réflexion!

      Patrick.

      • Georges Caroline dit :

        Bonjour Patrick,
        merci pour vos qualités d’écriture: je m’intéresse au travail de bergère et cherche à rencontrer des personnes en France, travaillant avec des moutons ou avec des chèvres angora.
        Je serais heureuse de prendre contact avec vous.
        Je vous remercie et vous souhaite une bonne continuation.

      • Brune dit :

        bonjour,
        Emmanuelle, 54 ans, en phase de sortir de ma chrysalide d’artiste textile, puisque future retraitée (sept 2017:-) pour invalidité (inapte à exercer mes fonctions de professeure des écoles) suite à un burn out soigné par arthérapie et notamment tricothérapie. Bref j’envisage de faire une formation « CURSUS DE BASE connaissance et préparaton de la matière, connaissance et préparation de la laine, production de laine et de peaux de qualité » proposée par Lainamac et j’ai 4 mois pour ronger mon frein avant de pouvoir concrétiser mon projet professionnel et… le pourquoi du comment je me retrouve à vous contacter pour éventuellement vous rencontrer, vous dont le point de vu professionnel et personnel m’a touchée par sa sagesse empreint de savoir faire et de vivre, et votre bergerie pour faire « connaissance avec la matière laine » grâce à laquelle j’ai pu reprendre vie. Espérant ne pas vous avoir importuné, cordialement Emmanuelle Brune

      • Brune dit :

        bonjour Patrick,
        Emmanuelle, 54 ans, en phase de sortir de ma chrysalide d’artiste textile, puisque future retraitée (sept 2017:-) pour invalidité (inapte à exercer mes fonctions de professeure des écoles) suite à un burn out soigné par arthérapie et notamment tricothérapie. Bref j’envisage de faire une formation « CURSUS DE BASE connaissance et préparaton de la matière, connaissance et préparation de la laine, production de laine et de peaux de qualité » proposée par Lainamac et j’ai 4 mois pour ronger mon frein avant de pouvoir concrétiser mon projet professionnel et… le pourquoi du comment je me retrouve à vous contacter pour éventuellement vous rencontrer, vous dont le point de vu professionnel et personnel m’a touchée par sa sagesse empreint de savoir faire et de vivre, et votre bergerie pour faire « connaissance avec la matière laine » grâce à laquelle j’ai pu reprendre vie. Espérant ne pas vous avoir importuné, cordialement Emmanuelle Brune

    • Amnesty dit :

      Comme dit plus haut cela est à cause de l’homme historiquement

  15. Tina dit :

    Bonjour,
    Personnellement je suis vegan ; je ne suis pas une extrémiste, j’essaie simplement de faire de mon mieux pour qu’aucun animal n’ait à mourir pour me nourrir et pour me vêtir si je peux faire autrement. J’essaie de comprendre aussi et votre discussion m’intéresse beaucoup. C’est incroyable comme il est difficile d’avoir des informations – fiables – sur l’élevage ou tout simplement sur ce qu’il se passe réellement pour les animaux. Bien sûr certains éleveurs traitent au mieux leurs bêtes mais même les plus sympas reconnaissent qu’ils finissent à l’abattoir ou qu’ils passent une partie de leur vie privés de liberté.
    Je lis ici que les matières synthétiques causeraient plus de dégâts aux animaux que la laine ! D’autres disent que c’est faux ! Qui dit vrai ?
    J’ai aussi quelques questions à poser aux éleveurs : Est-ce que les moutons ont de la laine jusqu’à la fin de leur vie et est-il inenvisageable de les laisser vivre en liberté plutôt que de les envoyer à l’abattoir quand ils ne sont plus rentables ? Est-ce essentiellement une question financière (prix de la viande, … ) qui amène l’éleveur à envoyer ses animaux à l’abattoir ?
    Merci.

  16. claude dit :

    Je suis un consommateur de vêtement de lainage en mérinos. mais d’une lignée de vêtement assez dispendieux de Nouvelle Zélande. Ma question est de savoir est ce que c’est seulement la confection de lainage qui est importé en Chine ou les moutons , car si ce sont les animaux je serais dans l’obligation d’abandonner les achats de lainages à cause des mauvaises conditions. Il semble avec cette entreprise on peut remonter jusqu’à l’animal. Je veux surtout pas encourager la maltraitance

  17. Youssef bouterfas dit :

    C’est vrai c’est un sujet très difficile a traiter. En tout cas de ma part si les animaux vivent l’horreur c’est parce-que des millions de personne vivent dans un état irréels presque artificielle je parle des gens de la vi!!es de l’administration des armės des police gendaremrie donc une masse des millions qui vivent en attendant leurs entretiens c’est cela qui a crėe une demande ireesonable. On ne dit plus imoler la bête mais tuer la bête ensuite le verbe c’est dévier et redevenue abbatre la bête. Avant l’être humain a la compagne vivaient parois les bêtes. Tellement n’avait de quoi manger que le coq pourrait de vieillesse. Et puis même tondre l’animal c’était comme faire une voiture a son petit enfant sauf que au lieu de jeter les cheveux de la bette on faisait des fils..c’est en somme pour ne pas’poluer le milieu car les’cheuceux après voitures faudra soit les jeter soit les brûler..et puis un tricot de laine dépassait les 5 ans ..donc c’est la sociėtė des villes qui a produit des montres qui sont entrain de massacrer les animaux pour entretenir ces personnes qui vivent 60 ans faisant la navette métro boulot boite de nuit alcool et j’en passe. Donc y’a plus de solution pour l’avenir de ces sociėtės ils vivent sur l’épuisement des ressources. Une fois tout sera épuiser ils vont tout simplement se faire une auto-nettoyage. Il n y’a pas de solution a moins que les scientifiques leurs trouve une sortie de s’alimenter en algue et en plancton et en levures modifier en comporte .
    D’ailleurs chez nous les musulmans comme chez les chrétiens les livre cora’ Côme bible insiste sur la lutte contre le gaspillage c’est le seul problème qui inquiète Dieu ..il faut être modérer et surtout ne pas se jeter dans une situation qui pousse au gaspillage une fois entrer dans une ville c’est cela le guet apen ..tu ne peut sortir de cette situation et si tu y vie tu dois faire un effort imme’ce pour se contrôler..le manque d’argent le chômage la pression psychologique font que l’individu est dans le brouillard le o!US totale sauf si il a l’avantage d’aller passer quelques weekend en village chez les parents ou ami alors lä il découvre un peu de paix ils s’apaise ..il découvre au moins une chose dans la vie  »t’a pas besoin d’argent pour vivre » t’a pas besoin de viande pour vivre t’a pas besoin des besoins qui étaient des besoins inutiles. La tlė le four a micro-onde la voiture l’electricitė la tėlė tous sont des besoins fictifs c’est bien de les avoir mais faut pas faire un drame si on les est pas..y’a pas y’a pas ce n’est la fin du monde..on fait autre chose. On se couvre bien de l’eau d’un mouton on se serre la femme est naturellement o!US chaude que l’homme ils créent sous la couverture un chauffage naturel à la place du chauffage au fuel..et c’est bien car la chaleur fait séparer les’epoucpx le froid les fait serrer l’un contre l’autre. Meme’l’efnat naitra dans l’amour et le bonheur il sortira rieur a longueur d’annėe dans son berceau..toutes ces choses sont inconnue par les gens de la ville. Ils vivent le gel ornė trop de peinture de colorant mais toit es incipide sans goût ni odeur ni senteur. Tout es plastique ..on passe notre vie a’laicher les vitrine a rayer les trotoires a user les sièges des métro et des voitures..c’est malheureux pas uniquement pour les bêtes mais pour les enfants nėes dans une vile dans un quartier oublier..par les politiques..
    La’ pla’ete va droit vers sa fin….impossible de stopper un bloc de glace qui se détaché d’une montagne

  18. Antoine dit :

    Vive le steak, le poisson, les oeufs, le mouton et j’en passe, le cashmere et le beau cuir … et dommage pour les pisses froids et comme dirait le prf jOYEUX? LES VEGANS QUI ONT LA SEXUALITE AU FOND DE LEUR BOTTE lmao

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